
Des immeubles construits avec des façades végétalisées, des toits végétalisés, la ville découvre des espaces où l’agriculture est possible. J’habite dans un quartier où se trouvaient plusieurs pépiniéristes il y a quelques années. Tout est aujourd’hui remplacé par des copros, des copros. J’ai l’impression que la moindre parcelle de terrain disponible doit se valoriser en un maximum de m² habitables. Ce qui repousse hors de la ville notre nourriture. Alors que manger local, c’est possible. En ville aussi. Comme la Seine Saint Denis et plein d’autres, redécouvrons nos possibilités agricoles en ville ! Oui aux Parisculteurs ! Retrouvons les arbres fruitiers palissés, les potagers, les fleurs ; rêvons, agissons !
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